Les informations qui ont marqué ce week-end

mod

Présidentielle

Le chef de cabinet de la Présidence, Ahmed Ouyahia, a animé, vendredi 28 mars, son premier meeting électoral à Mascara. Durant 30 minutes, l’ancien Premier ministre a défendu le programme de Bouteflika. Selon lui, Bouteflika « a tendu sa main pour rendre à l’Algérie sa stabilité et son unité ». Avant de poursuivre : « Avec Bouteflika, sans doute que Dieu continuera à bénir l’Algérie ».

À Ghardaïa, Ali Benflis accuse l’État d’avoir failli. Chez les Chaâmbis comme chez les Mozabites, le candidat aux présidentielles fait le même constat. « Le pouvoir n’a ni la volonté, ni la capacité de résoudre la crise dans cette ville, ni partout ailleurs ». a-t-il répété dans les meetings qu’il a tenus vendredi 28 mars à Metlili et Benoura à Ghardaïa. Et à partir de cette wilaya « meurtrie » par les affrontements entre Mozabites et Chaâmbis, le candidat a appelé à la chute du système.

Samedi, le groupe terroriste Aqmi fait irruption dans la campagne présidentielle en publiant une vidéo d’une durée d’une heure, le 24 mars dernier. Reprise par le quotidien Le Monde, la vidéo de propagande enchaîne des images de pauvreté, de mal-logement et de chômage pour mieux dénoncer les « promesses jamais tenues » du Président-candidat.

Promulgation de la loi sur l’audiovisuel

L’Algérie ouvre officiellement, mais partiellement, l’audiovisuel au privé. La loi relative à l’activité audiovisuelle, adoptée fin janvier par le Parlement, a été publiée en effet au Journal officiel N°16 du 23 mars 2014. La promulgation de cette loi était la dernière étape dans le processus d’ouverture de l’audiovisuel au privé. Mais cette loi reste en retard d’une génération et ne prend pas en compte la dimension Internet.

Sortie du nouveau livre de Mohamed Benchicou

La mission, le nouveau livre de Mohamed Benchicou (chroniqueur à TSA), est sorti, samedi 29 mars à Alger. Le livre est taillé sous forme de thriller, autour de la prise d’otages de Tiguentourine et de la situation politique en Algérie.  Sir William, principal personnage du roman, était revenu bouleversé de la base gazière, exploitée par l’un des plus beaux fleurons de la couronne britannique. Il s’apprêtait à faire des révélations sur le marchandage sordide autour de Tiguentourine qui avait précédé l’attaque terroriste, sur la connivence entre des capitales occidentales, la pègre pétrolière internationale et l’autocratie archaïque locale qui ambitionnait de se reconduire pour un quatrième mandat …


Pour commenter nos articles, rendez-vous sur notre page Facebook,
en cliquant ici