La Direction de la communication du candidat indépendant Abdelaziz BOUTEFLIKA est surprise de lire en ligne que le Directeur de la communication, M. Abdeslam Bouchouareb, ait donné ordre d’empêcher la journaliste de TSA de faire son travail.
M. Bouchouareb a non seulement permis à Mlle Hadjer Guenanfa de faire son travail, mais celle-ci a été exceptionnellement autorisée à séjourner toute la journée du scrutin de surcroît dans un bureau faisant face au sien.
La journaliste Hadjer Guenanfa qui semble avoir apprécié ce privilège concédé au détriment de la majorité des autres journalistes n’a pas, par ailleurs, apprécié, qu’on lui demande plusieurs heures plus tard de rejoindre les autres journalistes au rez-de-chaussée de la direction de la communication.
S’agissant de la demande de la même journaliste, adressée à l’entrée d’El-Aurassi à M. Bouchouareb, pour couvrir la conférence de presse du Directeur de campagne, elle a été exprimée en tant que faveur, sachant que c’est le Ministère de la Communication dont dépend le CIP qui est seul habilité à accorder ce genre d’accréditation.
Sur instruction de M. Bouchouareb l’adjoint à la direction de la communication a essayé en vain de faire accréditer la journaliste qui faut-il le rappeler a eu droit à tout les privilèges qui puissent s’imaginer au niveau de la direction de la communication.
Par ailleurs, il est reproché à la direction de la communication d’avoir agi de la sorte en représailles à la publication par le site d’une interview dont le contenu nous aurait dérangés. Cela ne se peut pas pour la simple raison que le communiqué-doléance de TSA est antérieur de quatre heures à l’interview en question ( ??? ).
A ce titre, nous sentant diffamés nous vous saurions gré de procéder au retrait du communiqué en question ainsi que des commentaires consécutifs, et de publier en lieu et place la présente mise au point.
