Carnets de campagne

??????????????

Vendredi 28 mars, sixième jour de campagne

Ali Fawzi Rebaine était à Constantine. Il estime qu’il est temps de réformer le cadre législatif du système bancaire et de la Cour des comptes. Il affirme avoir constaté que de nombreux clients qui demandent des crédits bancaires se voyaient exiger des pots-de-vin. Le candidat d’Ahd 54 réitère aussi ses accusations de partialité de l’administration.

Depuis Tiaret et Mascara, Ahmed Ouyahia rappelle que Abdelaziz Bouteflika, candidat à la présidentielle, était le garant de la stabilité du pays et épargnerait l’Algérie des scénarios qui se sont déroulés en Libye et au Mali. « Seule la stabilité garantira le développement national et la justice sociale », a indiqué A. Ouyahia

Ali Benflis était à Ghardaïa. Ghardaïa sera sa première destination en cas de victoire à la présidentielle, a-t-il promis. Il estime que le conflit qui touche la région n’est pas d’ordre ethnique ou communautaire. Et il accuse : « L’État est responsable car assurer la sécurité et garantir la dignité des personnes relèvent de ses missions ».

Louisa Hanoune était à M’sila. Pour elle, une véritable démocratie suppose  le « contrôle de tous les représentants du peuple, y compris le chef de l’État ». Pour la région, elle promet de redynamiser le secteur de l’hydraulique et de résorber le chômage.

Abdelaziz Belaid, candidat du parti El Moustakbal, était à M’sila où il a soutenu que le pouvoir devait revenir à la génération post-indépendance.  Il précise que son programme ne peut aboutir que par l’union de les tous les Algériens.

Moussa Touati était à Guelma. Le candidat du FNA pense que la France n’a jamais quitté l’Algérie. Elle dicterait au pays ce qu’il faut faire. Il souhaite que le peuple algérien ne se laisse par faire. Selon le candidat, l’Algérie ne combattra pas la France par les armes mais par le vote.

 


Pour commenter nos articles, rendez-vous sur notre page Facebook,
en cliquant ici