Le FFS maintient le cap sur la Conférence du consensus national

Nebou

Le FFS ne perd pas espoir d’organiser sa Conférence de consensus en dépit de l’échec de la réunion initialement prévue le 23 février dernier.

« L’initiative du Consensus se poursuivra. Les débats et consultations avec les formations politiques, personnalités et la société civile en général continueront également afin d’aboutir à une entente à même de déterminer les priorités, consacrer l’Etat de droit et le principe de séparation des pouvoirs, en plus de consacrer la justice sociale, la liberté d’expression et les autres libertés », a déclaré, ce samedi, à Tamanrasset, Mohamed Nebbou, membre du présidium du parti.

« Il est de la responsabilité des politiciens de donner un nouveau souffle au consensus national pour prévenir les phénomènes de violence », a-t-il dit, selon des propos repris par l’APS. « Cette responsabilité devra englober l’ensemble des aspects du développement sur la base de la consécration de la démocratie, irréalisable dans un contexte d’injustice et d’inégalité sociale ou d’une absence de justice indépendante et d’un Etat de droit », a-t-il ajouté.

De son côté, Ali Laskri, ancien premier secrétaire, également membre du présidium, a insisté sur la « nécessité d’une volonté politique afin de parvenir à un Consensus national dans ses volets économique, social et politique ». Il a dans ce contexte appelé le pouvoir « à réunir toutes les conditions nécessaires à la concrétisation de cette initiative ». L’APS ne précise pas si le FFS a réagi au discours du président Bouteflika.


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