Un conseil scientifique constitué de 50 membres, entre muftis, universitaires spécialisés en sciences islamiques et en sociologie, a été mis en place pour débattre du nouveau code de la famille annoncé par le président Bouteflika à l’occasion de la célébration de la journée du 8 mars. L’annonce a été faite ce lundi 9 mars, par Mohamed Aïssa, ministre des Affaires religieuses, en visite à Tizi Ouzou.
Leur travail « concerne plusieurs dispositions qui méritent d’être révisées », a-t-il déclaré sans citer avec précision, lesquelles. Le ministre a souligné que l’objectif est de « parvenir à un code de la famille en mesure d’être ancré dans notre société musulmane et qui s’inscrit dans la modernité en prenant en considération les nouvelles mutations de la société algérienne ». Il a promis qu’« un débat large sera ouvert à toutes les parties et les forces de la Nation à ce sujet ».
