Bernard Poulin, président fondateur du Groupe canadien S.M. International Inc, nous a fait parvenir une mise au point après la publication de notre papier : « Air Algérie citée dans une enquête anti-corruption au Québec ». Nous la publions intégralement.
« Suite à l’article publié sur votre site Internet, je tiens à rectifier certains propos exposés dans ce dernier. Concernant ma présence sur le bateau de M. Accurso, il m’est difficile de comprendre pourquoi j’ai été cité lors des travaux de la commission. Je n’ai jamais invité de représentant d’Air Algérie en vacances en Méditerranée, ni même la moindre personne ou représentant dans un cadre professionnel ou pour un quelconque besoin professionnel. De plus, je n’ai jamais entendu parler d’une invitation quelconque faite à un responsable d’Air Algérie pour séjourner sur le bateau de M. Accurso.
Pour rappel, nous avons remporté un appel d’offres après avoir présenté la meilleure proposition technique et financière avec un montant de 83 millions d’euros alors que le soumissionnaire retenu classé second était à 157 millions d’euros et nous avons dû recourir, le 26 avril 2013, après une multitude de tentatives de règlement à l’amiable, à un tribunal d’arbitrage international afin de trancher sur les différends qui nous opposent à Air Algérie. Cette dernière a résilié le contrat le 4 juin 2013 de manière unilatérale.
Bernard Poulin, président fondateur du Groupe canadien S.M. International Inc.
