La Réconciliation nationale devient, en vertu du projet portant révision de la Constitution, « une constante » nationale. Un passage du projet stipule que « le peuple algérien fait siens les principes de la politique de paix et de Réconciliation nationale. Il demeure convaincu que le respect de ces principes contribue à la défense des valeurs communes et constitue la voie consensuelle pour la protection des intérêts de la communauté nationale ».
« Les valeurs de paix et réconciliation, ajoute le document, font partie des constantes de la Nation qui doit tout entreprendre pour leur défense, dans le respect de la République et de l’État de droit ».
Cette proposition risque de susciter la polémique. Les familles des victimes du terrorisme, des associations et des partis politiques se sont démarqués et ont dénoncé cette démarche initiée par le président de la République, lors de son premier mandat.