EN DIRECT. Avion d’Air Algérie : « la piste météo est sérieuse », selon Amar Ghoul

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16h30. France 2 a diffusé les premières images de l’épave de l’avion (vidéo).

14h14. Fabius : « 118 passagers, dont 54 Français, étaient à bord de l’avion ».

14h11. Fabius : « Des experts du Bureau enquêtes et analyses ainsi que des médecins légistes de la gendarmerie s’envolent aujourd’hui même ».

14h10. Laurent Fabius, le ministre français des Affaires étrangères : « Les débris sont concentrés sur une surface d’environ 300 mètres sur 300 mètres. Ils sont sur une zone de savane et de sable dont l’accès est difficile en période de pluies ».

13h12. Amar Ghoul sur les causes du crash : « Aucune hypothèse n’est à exclure. Il y a des pistes plus sérieuses que d’autres, mais seule l’enquête déterminera les causes exactes du crash ».

13h11. Amar Ghoul : « L’avion était à 900 m d’altitude au moment de sa disparition. Le lieu du crash est distant de plus de 800 km des aéroports d’Ouagadougou et Bamako. L’aéroport de Gao est fermé. »

13h09. Amar Ghoul sur l’identité des six Algériens morts dans le crash: « Deux font partie de l’équipage d’Air Algérie. Un commandant de bord et un chef de cabine et les quatre autres Algériens ont des relations de travail au Burkina Faso ».

13h07. Amar Ghoul : « Cet avion a déjà fait cinq fois le même vol. Toutes les autorisations ont été fournies et examinées. L’avion a été examiné à Marseille et l’autorisation a été donnée à cette compagnie (Swiftair). Tout a été en règle ».

13h04. Amar Ghoul sur la conduite de l’enquête sur le crash de l’avion : « La loi est claire. C’est le Mali qui doit mener comme pilote l’action de contrôle. L’Algérie, la France, le Burkina Faso, l’Espagne, le constructeur sont concernés également. Dans pareils accidents, les choses ne sont pas faciles. La coordination des efforts est très nécessaire ».

13h02. Amar Ghoul : « La cause officielle de l’accident ne peut être connue qu’à l’issue de l’enquête. Personne ne peut dire la cause exacte. Toutes les données seront remises à la commission de l’enquête. Parmi les causes évoquées, il y a les problèmes de météo. C’est une piste sérieuse et importante. Mais toutes les pistes seront étudiées. Selon les informations, les analyses plaident pour cette piste, mais rien n’est encore officiel ».

13h00. Hamid Grine : « Tant que les résultats de l’enquête ne sont pas connus, il faut éviter toute spéculation ».

12h59. Conférence de presse. Hamid Grine à l’aéroport d’Alger : « Mes pensées vont d’abord aux familles des victimes. Dès la disparition de l’avion, une cellule de crise a été mise en place ».

12h55. Lamamra : « Il faut attendre les résultats de l’enquête pour connaître les raisons du crash et éviter de spéculer par respect aux familles des victimes ».

12h52. Conférence de presse de Ramtane Lamamra à l’aéroport d’Alger, avant son départ pour le Mali en compagnie de Amar Ghoul : « Les Maliens présents à Alger pour négocier un accord de paix ont été les premiers à localiser avec exactitude l’épave ».

12h47. Amar Ghoul : « Des photos des débris de l’épave sont en notre possession ».

12h46. Amar Ghoul : « Hier, nous avons rendu visite aux familles des victimes algériennes pour les soutenir ».

12h45. Amar Ghoul : « La responsabilité de l’enquête sur le crash incombe au pays où l’avion est tombé, c’est-à-dire le Mali. L’Algérie et la France vont l’aider ainsi que d’autres pays ».

12h38. Conférence de presse de Amar Ghoul à l’aéroport d’Alger : « Je confirme que l’épave de l’avion a été retrouvée au Mali ». « Nous présentons nos condoléances aux familles des victimes ». « Le rapatriement des corps ne sera pas facile. L’État algérien fera tout pour le faire. »

11h55. Concernant l’examen de la boite noire trouvée, Amar Ghoul précise à TSA que « la réglementation est claire là-dessus ». Selon lui, c’est le pays où l’épave a été retrouvée (le Mali), le transporteur (Air Algérie) et le constructeur qui sont chargés de l’enquête.

11h49. Le président Abdelaziz Bouteflika a décidé d’un deuil national de trois jours à compter de vendredi, à la suite du crash de l’avion d’Air Algérie.

10h50. Amar Ghoul, ministre des Transports, à TSA : « Je me déplace aujourd’hui au Mali puis au Burkina Faso où je serai reçu par les hauts responsables de ces deux pays.  Je suis l’envoyé du président de la République. Je tiendrai un point de presse à midi à l’aéroport avant mon départ à 14h ».

09h54. François Hollande, président français : « Il n’y a hélas aucun survivant ». « Une boite noire a déjà été retrouvée ».

9h42. Le détachement terrestre français es arrivé sur le site du crash, a annoncé le ministère français de la Défense.

L’épave de l’avion d’Air Algérie, qui a disparu des radars très tôt dans la matinée de jeudi 24 juillet, a été retrouvée à Gossi au Mali, a annoncé ce vendredi 25 juillet l’Elysée dans un communiqué, confirmant l’information donnée hier par un général Burkinabé. Selon le quotidien Le Monde, l’épave de l’avion a été localisée grâce à un drone de l’armée française.

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Pour le ministre français de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, la météo était « l’hypothèse la plus probable ». Le secrétaire d’Etat aux Transports français, Frédéric Cuvillier, écarte « la possibilité d’un tir depuis le sol, hautement improbable, voire impossible». Il a ajouté qu’il est « fort peu probable, voire exclu, qu’il y ait des survivants », rapporte le quotidien Libération.

L’avion transportait 116 passagers dont six Algériens et 51 Français. Il assurait la liaison Ouagadougou-Alger. L’appareil, un MD83, a été affreté par Air Algérie auprès de la compagnie espagnole Swiftair.


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