Ils ont déclaré…

Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet de la présidence : « L’Algérie d’aujourd’hui est un État aux institutions démocratiques et n’a nullement besoin de période de transition » (El Watan).

Ali Haroun, ancien membre du Haut comité d’État (HCE) : « Depuis 1962, un fil conducteur relie tous les dysfonctionnements qui entravent notre évolution vers un État de droit » (Liberté).

Abdelmadjid Sidi Said, patron de l’UGTA : « L’article 87 bis a été abrogé par le président de la République, et cette abrogation ne peut faire l’objet d’aucune spéculation ! » (Le Soir d’Algérie).

Rafik Halliche, joueur de l’équipe nationale : « Après le match de la Belgique, on s’est parlé nous les joueurs entre nous, où nous nous sommes promis de rectifier le tir face à la Corée du Sud. Personne n’a rechigné sur les efforts face aux Belges, maintenant il faut oublier et se projeter sur l’avenir » (L’Expression).

Abdelmalek Boudiaf, ministre de la Santé : « Il est « inadmissible » qu’un nouveau-né soit enlevé d’un établissement hospitalier. « Cela ne se reproduira plus » » (El Moudjahid).

Ramtane Lamamra, ministre des Affaires étrangères : « L’escalade des campagnes islamophobes menées par des groupes extrémistes dans les pays occidentaux interpelle l’organisation (OCI, ndlr) à l’effet d’intensifier ses efforts pour faire connaître les valeurs de tolérance, de modération, d’ouverture d’esprit et d’entente prônées par notre religion de paix » (Horizons).


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