Nouvelle initiative politique : l’Alliance nationale pour le changement (ANC) voit le jour

Au lendemain de la présidentielle, les initiatives politiques en faveur du changement se multiplient. Dernière en date : la création de l’Alliance nationale pour le changement (ANC).  Ce nouveau pôle  politique  est composé notamment d’ex-cadres du FFS, comme  Samir  Bouakouir, Karim Tabou  et Abdelkader Zerrou et d’anciens responsables du FIS dissous, à l’image de  Mourad  Dhina, Anouar Hadam. Des personnalités indépendantes comme Tahar Belabbès, responsable du Comité national de défense des droits des chômeurs (CNDDC), Ghazi Hidouci, ex-ministre de l’Économie, ainsi que des  professeurs d’universités et des militants des droits de l’Homme, ont signé l’appel.

Les initiateurs de l’ANC la décrivent comme un espace « de consultation, de concertation et de coordination pour une action commune qui œuvre pour l’édification de l’État de droit ». C’est aussi  un rassemblement ouvert  « à tous et à toutes sans exclusive, incluant tous les courants idéologiques ou partisans qui adhèrent aux principes énoncés », selon le texte de l’appel, diffusé ce dimanche 27 avril 2014.

Dans  cet appel,  les initiateurs de l’ANC déclarent « vouloir agir et se rassembler, au-delà des clivages idéologiques, linguistiques ou politiques, en vue d’un changement global, réel et effectif du système politique en place ». La mobilisation  à laquelle  fait appel l’ANC sera  engagée dans un cadre  «  pacifique». Son principal objectif ? « Instaurer l’État de droit et la démocratie en Algérie ».


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