Ils ont déclaré …

Abdelmalek Sellal, directeur de la campagne de Bouteflika : « Tizi Ouzou a besoin de l’Algérie tout comme l’Algérie a besoin de TiziOuzou ». (Liberté)

Abdelmalek Sellal : « Si nous perdons la stabilité, nous perdons la souveraineté ». (El Watan)

Abdelmalek Sellal : « Je me rappelle bien qu’en 2009, et j’avais les larmes aux yeux, lorsque, rappelez-vous aussi, Bouteflika était venu ici et vous disait, ému par l’accueil, qu’aujourd’hui, je peux mourir tranquille ! »  (Le Soir d’Algérie)

Abdelmalek Sellal : « On dit que Tizi Ouzou est rebelle. Moi je dis qu’elle est belle et rebelle ». (L’Expression)

Abdelmalek Sellal : « Merci pour cet accueil d’hommes. Quand je dis hommes, je veux dire hommes et femmes. Les uns ont des moustaches et les autres ont de beaux cheveux ». (Le Temps d’Algérie)

Abdelmalek Sellal : « Vous êtes des hommes, vous savez vous y prendre, personne ne vous a fait baisser la tête ». (Le Quotidien d’Oran)

Abdelmalek Sellal : « La justice est au-dessus de tous et aucun Algérien ne sera marginalisé à partir du 17 avril ». (Ennahar)

Ali Benflis, candidat à la présidentielle : « Je regrette que cette campagne électorale se déroule dans un climat tendu. Je dois, à la vérité, de dire que rien n’a été fait jusque-là pour qu’elle se déroule dans la sérénité et l’apaisement ». (Le Soir d’Algérie)

Ali Benflis : « J’appelle l’Armée nationale populaire à n’obéir qu’à sa conscience lors de l’élection du 17 avril prochain ». (Liberté)

Ali Benflis : « Je me suis, pour ma part, interdit de répondre aux accusations graves et infondées, dont je fais l’objet de la part de certains supports médiatiques en leur opposant une démarche constructive en étant toujours une force de proposition et en veillant à ne jamais m’entraîner dans le sillage de la diatribe et de la polémique ». (L’Expression)

Ali Benflis : « Je ne suis pas venu distribuer des mannes financières pour leurrer les électeurs. Je suis porteur du changement que vous souhaitez, alors votez pour moi ». (L’Horizon)

Abdelmadjid Sidi Saïd, secrétaire général de l’UGTA : « Ouvriers que nous sommes, nous sommes tous avec Bouteflika à tort ou à raison ». (L’Expression)

Amara Benyounes, président du MPA : « Le peuple algérien va voir le Président et l’entendre très prochainement ». (L’Expression)

Amar Ghoul : « Le programme de Bouteflika répond aux attentes de la diaspora algérienne ». (Ennahar)

Ali Fawzi Rebaïne, à propos des incidents de Bejaïa : « Les journalistes et la police sont nos enfants, que vous le vouliez ou non. Il y a d’autres méthodes d’exprimer son mécontentement. Je suis en colère, mais j’ai préféré le militantisme comme moyen d’expression pacifique ». (Le Quotidien d’Oran)

Le mouvement Barakat à Sellal : « Nous ne sommes ni pour le statu quo ni pour le chaos ». (Liberté)

Le mouvement Barakat à la direction de campagne de Bouteflika : « C’est le pouvoir qui est à l’origine des affrontements ». (El Watan)

Ali Fawzi Rebaïne : « Les membres du gouvernement qui ont insulté les adversaires de Bouteflika doivent déposer leur démission ». (L’Horizon)

Moussa Touati, candidat à la présidentielle, à propos des incidents de Bejaïa : « Je regrette les incidents, car ils portent atteinte à la démocratie et à la liberté de la presse en Algérie ». (El Moudjahid)

Abdelaziz Belaïd, candidat à la présidentielle : « Le nombre de communes et de wilayas doit doubler ». (L’Horizon)

Djellloul Djoudi, directeur de campagne de Louisa Hanoune : « Les ennemis de l’Algérie veulent voir notre pays sombrer dans le chaos ». (Liberté)

Abdelghani Hamel, DG de la DGSN : « Tout acte susceptible de porter atteinte à la dignité des personnes mises en garde à vue, quels qu’en soient les motifs, est interdit. Et l’agent de police qui infligerait un tel traitement encourt des sanctions ». (L’Horizon)

Nouar Larbi, coordonnateur du Cnapest : « Pour le moment, tout est dans l’ordre à moins que les engagements pris par la Fonction publique ne soient pas appliqués ».  (Le Soir d’Algérie)

Abdelkader Benyattou, membre du Conseil national des rappelés de l’armée : « Nous saisissons la conjoncture des élections présidentielles, où la police ne réprime pas les rassemblements, pour faire entendre notre voix ». (Le Soir d’Algérie)


Pour commenter nos articles, rendez-vous sur notre page Facebook,
en cliquant ici