Ils ont déclaré …

Mouloud Hamrouche ex-chef du gouvernement : « Trois hommes portent le fardeau de la crise : Abdelaziz Bouteflika, Ahmed Gaïd Salah et Mohamed Mediene. Ces trois hommes, armés de courage et patriotes qu’ils sont, doivent sortir le pays de l’impasse et l’engager sur la voie de la modernisation et de la démocratisation ». (Le Soir d’Algérie)

Mouloud Hamrouche : « Si les trois responsables, avec le soutien de l’armée, lancent le processus de changement, tout le monde suivra, société civile et politique ». (El Watan)

Ali Benflis, candidat à la présidentielle : « Ceux qui sont aujourd’hui exclus de l’activité politique sont une partie de la solution à la crise ». (El Watan)

Ali Benflis : « Mon projet est réel, il n’est pas superficiel. Nous devons aller vers une démarche consensuelle qui règle définitivement le problème de la légitimité populaire ». (Le Soir d’Algérie)

Ali Benflis : « Je me tiens devant Dieu et devant vous en faisant appel à ma conscience et je pèse bien mes mots, j’apporterai un plus au processus de la rahma, la concorde civile et la Charte pour la paix et la réconciliation nationale ». (L’Expression)

Ali Benflis : « Le changement vient pacifiquement par la sagesse, le bon sens et des élections intègres ». (Algérie News)

Abdelaziz Belaïd, candidat à la présidentielle : « J’ai fait plusieurs wilayas et j’ai été reçu par beaucoup de citoyens et j’ai l’impression qu’ils ne s’intéressent pas aux élections ». (Le Soir d’Algérie)

Abdelaziz Belaïd : « On doit convaincre les Algériens d’aller voter et choisir le meilleur candidat et de leur expliquer notre programme et notre démarche ». (Le Quotidien d’Oran)

Moussa Touati, candidat à la présidentielle : « Dans notre société, basée sur les principes de la religion musulmane, la famille est sacrée et nous avons le devoir et l’obligation de la préserver et d’éviter toute mesure risquant de toucher à son harmonie ». (Le Quotidien d’Oran)

Moussa Touati : « Le pouvoir, qui a acheté la paix sociale par la distribution de l’argent public et la création d’innombrables micro-entreprises qui ont montré leurs limites, a failli ». (El Watan)

Abdelmalek Sellal, directeur de campagne de Bouteflika, évalue la première semaine de la campagne électorale : « Près de 400 000 personnes ont assisté à nos activités » (Le Temps d’Algérie)

Ali Fawzi Rebaïne, candidat à la présidentielle : « Nous avons constaté que la corruption est devenue monnaie courante et une tradition que ce soit dans l’administration ou bien dans l’économie ». (Le Quotidien d’Oran)

 

 


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