12h40. Fin de la manifestation. Les manifestants se sont dispersés dans le calme.
12h15. La manifestation se poursuit, malgré les fortes chaleurs. Lecture d’une déclaration du comité contre le gaz de schiste.
11h25. Sofiane Djilali : « Le pouvoir doit satisfaire ce que demande le peuple ».
11h20. Abdelwahab Fersaoui, président de RAJ : « Merci aux habitants d’In Salah et Ouargla qui donnent une leçon de nationalisme et d’organisation pacifique ».
11h15. Ahmed Adimi au nom du Pôle du changement : « On commence à concrétiser ce qui reste du message des chouhadas : l’Etat démocratique ».
11h10. La représente des familles des disparus prend la parole. Elle tire à boulets rouges sur Benflis et Khaled Nezzar est qualifié de criminel.
10h50. Mohcine Belabbas, président du RCD : « In Salah nous a donné des leçons et envoyé des messages de résistance et d’intransigeance mais ce pouvoir ne sait pas lire les messages ».
10h30. Autre slogan scandé par les manifestants : « Ya Louisa (Hanoune), Sahra bel visa ».
10h20. Les manifestants scandent de nouveaux slogans : « Sellal dégage, pouvoir dégage! » « Fikou fikou yalouled, Bouteflika baa bled » (Bouteflika a vendu le pays).
10h05. Les responsables de l’opposition se succèdent à la tribune pour apporter leur soutien aux anti-gaz de schiste.
10h00. Tahar Belabbas, figure du mouvement des chômeurs : « On salue l’opposition et on lui dit qu’on est prêt à aller loin avec elle. Plus loin que ne le pense l’administration ».
9h55. Les animateurs commencent à prendre la parole. Les manifestants scandent des slogans en faveur de la liberté et contre le gaz de schiste.
9h40. Pas de dispositif policier visible autour de la place.
9h35. La place commence à se remplir. Ils sont plus de 3 000 manifestants déjà sur place, selon les organisateurs.
9h25. Les manifestants continuent d’affluer vers la place centrale. Ils scandent, en arabe : « FLN et RND ont vendu mon pays », « Le gaz de schiste, Wallah, il ne passera pas ».
Des dizaines de manifestants anti-gaz de schiste sont rassemblés devant la Mairie de Ouargla. Ils scandent non au gaz de schiste, « Samidoun, Samidoun, ghaz sakhri rafidoun » (« nous résistons, nous résistons, le gaz de schiste, c’est non »). Les personnalités de l’opposition commencent à arriver les lieux.