Les six infos à retenir du week-end

A-retenir

Vous avez décroché de l’actualité durant le week-end ? Nous vous proposons un retour sur les principales informations à retenir des deux derniers jours.

In Salah : poursuite de la protestation contre le gaz de schiste

La mobilisation contre le forage de puits de gaz de schiste ne faiblit pas à In Salah. De nouvelles manifestations ont eu lieu, samedi 31 janvier, dans la soirée.

Par ailleurs, la contestation sociale s’étend à Illizi, dont les habitants ont réclamé, lors d’une marche pacifique organisée vendredi 30 janvier, l’amélioration de leurs conditions de vie.

Le sous-sol algérien riche en gaz de schiste

Les forages-tests effectués par Sonatrach révèlent l’ampleur des réserves exploitables de gaz de schiste algérien. Le pays se classerait à la 4e position à l’échelle mondiale, derrière les Etats-Unis, la Chine et l’Argentine.

L’Etat rachète Djezzy

Comme annoncé en exclusivité par TSA, le rachat de Djezzy par l’Etat algérien a été annoncé officiellement vendredi 30 janvier, dans un communiqué de Vimpelcom, maison mère de l’opérateur de téléphonie mobile.

Le baril de pétrole en forte hausse

Le prix du pétrole brut de la mer du Nord (Brent), référence pour le baril algérien, termine la semaine en forte hausse, repassant au-dessus de la barre des 50 dollars (52,42$). Cette hausse est provoquée par les inquiétudes autour de la réduction des investissements de grandes compagnies pétrolières.

Le MSP veut dialoguer avoir le pouvoir

Le parti islamiste MSP de Abderrezak Mokri, membre de la coalition de l’opposition (CNLTD) a lancé une initiative de dialogue avec le pouvoir. L’initiative a suscité des réactions de « compréhension » de la plupart des membres de la CNLTD. Cette dernière tiendra, dimanche 1er février, une réunion qui permettra au MSP d’expliquer sa démarche.

Hannachi quitte la présidence de la JSK

L’inamovible président de la JSK, Mohand Chérif Hannachi, a annoncé, samedi 31 janvier, qu’il quittait son poste. Il qualifie le patron de la FAF, Mohamed Raouraoua, de « dictateur ».


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