Le pétrole continue sa baisse amorcée l’été dernier. Et rien ne semble arrêter cette chute inexorable. Aujourd’hui, mercredi 7 janvier, le Brent côté à la Bourse de Londres (référence pour le pétrole algérien) est descendu sous la barre symbolique et psychologique des 50 dollars pour la première fois depuis mai 2009. En séance, il est tombé à 49,75 dollars avant de rebondir légèrement.
L’abondance de l’offre, la baisse de la demande mondiale et la hausse du dollar ne favorisent pas le pétrole. Désormais, des analystes évoquent un baril à 40 dollars. Un seuil qui risque de compliquer les affaires de l’Algérie dont les revenus proviennent essentiellement des hydrocarbures.