L’enquête sur le crash de l’avion d’Air Algérie pourrait être plus compliquée que prévu. La raison ? L’une des boîtes noires censée enregistrer les échanges radio avec les contrôleurs aériens, les conversations des pilotes et même les bruits des boutons ou des alarmes ne fonctionnait pas au moment du vol, rapporte la radio française Europe 1 sur son site Internet.
La même source indique, toutefois, que la première boîte noire qui enregistre toutes les données de l’avion, avec les paramètres du vol comme la vitesse, l’altitude ou encore la trajectoire, a pu être lue par les équipes du Bureau d’enquête et d’analyses (BEA) dès la fin juillet.
Un avion affrété par Air Algérie à la compagnie espagnole Swiftair s’est écrasé au nord du Mali le 24 juillet dernier causant la mort de 116 passagers.