La revue de presse du samedi 31 mai

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Politique

« Révision de la Constitution : des consultations sans opposition », titre en une Liberté. « C’est demain dimanche que les consultations autour du projet de révision de la Constitution débuteront. Menées par Ahmed Ouyahia, ces consultations seront boudées par une partie de l’opposition et des personnalités politiques conviées par le pouvoir », note le journal.

« Alors que Sellal présente demain sa copie aux députés : des partis appellent à la dissolution de l’APN », titre en une Le Soir d’Agérie. « Le Premier ministre présentera demain la feuille de route du gouvernement devant les députés. Sellal y détaillera le plan d’action pour les cinq prochaines années dans un hémicycle qui fait de moins en moins l’unanimité. Les appels à sa dissolution et à l’organisation d’élections législatives anticipées émanent même du cercle proche du Président », écrit le quotidien.

El Watan publie un entretien avec l’ex-candidat à la présidentielle, Ali Benflis, et titre en une en reprenant les propos de ce dernier : « Le pays n’est plus gouverné ».

Moines de Tibhirine

« Affaire des moines de Tibhirine : pas de déplacement du juge Trévidic à Alger », titre Le Quotidien d’Oran. « Marc Trévidic, le juge antiterroriste français, ne se déplacera pas à Alger pour mener son enquête sur l’assassinat des sept moines trappistes du monastère de Tibhirine, sur les hauteurs de la ville de Médéa. En effet, une source proche du dossier, citée hier vendredi par l’AFP, a indiqué que Marc Trévidic ne va pas se rendre ce samedi à Alger dans le cadre de son enquête sur l’assassinat des moines de Tibhirine en 1996. Motif : il n’aurait pas reçu une autorisation des autorités algériennes », rapporte le journal.

Le dossier de l’assassinat des moines de Tibhirine sera inclu dans le programme de la prochaine visite du ministre français des Affaires étrangère, Laurent Fabius, la semaine prochaine, note El Khabar. Le journal rapporte que l’avocat des familles des moines accuse l’Algérie de vouloir cacher quelque chose suite à l’annulation de la visite du juge Marc Trévidic.

Retrait de permis

Selon Ennahar, citant des sources au ministère de l’Intérieur, les permis retirés aux conducteurs qui commettent des infractions seront transférés en 24 heures du poste de police vers la daïra. Puis le permis mettra 8 jours pour être transmis de la wilaya où l’infraction a été commise vers la wilaya de résidence du conducteur, pour un passage devant la commission qui décidera de la sanction à infliger au conducteur.

 


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