La revue de presse

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Campagne électorale 

« Il promet que le prochain mandat sera celui du changement et de l’ouverture démocratique : Sellal tente de rassurer l’opposition », titre en une le quotidien Liberté. « Après la promesse faite au premier jour de la campagne sur les réformes politiques, le directeur de campagne de Bouteflika, Abdelmalek Sellal, a fait part, hier à Blida, de l’intention de son candidat-Président d’œuvrer, durant le prochain mandat, à aller vers une nouvelle République du renouveau », note le quotidien.

« Alors que l’absence de Bouteflika est suppléée par plusieurs représentants : 5 candidats à l’épreuve du marathon électoral », titre en une El Watan. « Les villes choisies par les candidats pour entamer leur campagnes relèvent à la fois de critères symboliques, affectifs et aussi arithmétiques, dans le but de faire le plein », rapporte le journal. « Cette campagne est marquée par l’absence sur le terrain du candidat Bouteflika. Un handicap majeur que son équipe tente de combler par un essaimage en force à travers les wilayas », ajoute-t-il.

« Élection présidentielle du 17 avril, campagne électorale : appel à un vote massif », titre de son côté le quotidien gouvernemental El Moudjahid. « La deuxième journée de la campagne présidentielle s’est manifestement illustrée par des discours de la part des candidats en lice et leurs représentants, prônant la rénovation des institutions de l’État et le renforcement des instruments de la démocratie, appelant les électeurs à un vote massif lors du prochain scrutin », écrit-il.

« Abdelmalek Sellal, directeur de campagne de Bouteflika, à Dzaïr TV : retour à la limitation des mandats dans la prochaine Constitution », à la une du Temps d’Algérie. « Le prochain quinquennat sera celui du renouveau politique et de la démocratie participative, a indiqué hier Abdelmalek Sellal, directeur de campagne du candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika. Ce renouveau, promis par M. Bouteflika, est une suite des réformes politiques déjà engagées dans le pays et à laquelle seront invités, dans les prochains mois, les partis politiques et la société civile pour approfondir le débat », écrit le journal.

Manifestation du mouvement « Barakat ! »

« Des Islamistes ont tenté d’investir le sit-in : « Barakat ! » n’en veut pas ! », titre en une Algérie News. « Le mouvement Barakat ! a organisé hier un sit-in devant le siège de la Télévision nationale au Boulevard des Martyrs à Alger. L’objectif de ce rassemblement est d’appeler au droit à l’information, à la liberté d’expression, mais aussi pour dénoncer la propagande de l’ENTV au service du pouvoir », souligne le journal.

El Watan titre : « Manifestation hier devant l’ENTV : la télé et la radio publiques dans le viseur de Barakat ! ». « La police est venue en force, hier, au Boulevard des Martyres, à Alger, pour endiguer le rassemblement du mouvement Barakat ! devant les sièges de l’ENTV  et de l’ENRS », décrit-il.

Grève des cheminots

« L’administration a échoué à maîtriser la situation : les cheminots paralysent les rails », à la une d’El Khabar. Selon le journal, plus de 10 000 agents de la SNTF ont paralysé les rails, par une grève entamée dans la matinée d’hier.  « Cette grève a paralysé 100% du trafic ferroviaire à travers toutes les wilayas. La grève se poursuivra aujourd’hui car, l’administration n’a pas pu maîtriser la situation », précise-t-il.

« Suite à une grève surprise : les cheminots paralysent le rail », annonce en une le Soir d’Algérie. « Encore une fois, le transport ferroviaire a été fortement perturbé, hier lundi, avec une grève surprise des travailleurs de la SNTF. Et pour cause, toutes les liaisons au départ d’Alger ont été ainsi annulées et les locomotives ont dû rester sur quai. », note le quotidien.

Affaire des faux baccalauréats à Oran

« Affaire des faux bacs à Oran : entre deux et dix ans de prison requis contre 105 accusés », à la une du Quotidien d’Oran. « Des peines allant de deux à dix ans d’emprisonnement ont été requises hier par le ministère public contre 105 accusés dans l’affaire dite des faux bacs qui a éclaté à l’université d’Oran, il y a près de deux années. Le verdict a été mis en délibéré », écrit le journal.


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